Le secteur du transport et de la logistique profite du commerce électronique

Tradeshift Inc., fournisseur de paiements et de places de marché pour la chaîne d’approvisionnement, publie aujourd’hui son Index of Global Trade Health pour le 3ème trimestre 2020. Celui-ci montre clairement de légères récupérations sur les marchés malgré la crise du Corona et les conséquences économiques qui en découlent.

Je suis un bloc de texte. Cliquez sur le bouton d’édition pour modifier ce texte. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo.(San Francisco) – Le nombre de commandes et de factures échangées via des chaînes d’approvisionnement mondiales a augmenté de 15,2 % au troisième trimestre, après avoir chuté d’une marge similaire au deuxième trimestre. En juillet, il y a eu un immense coup de pouce, qui a cependant diminué en août et septembre. Les paiements continuent d’être retardés, ce qui oblige les fournisseurs à faire face à des problèmes de liquidité.

Le secteur du transport et de la logistique profite du commerce électronique

Un secteur qui a bénéficié du passage au commerce électronique est le secteur du transport et de la logistique. De nombreuses entreprises de T&L ont pu compenser l’activité traditionnelle de messagerie B2B en se tournant vers le commerce électronique. Les activités commerciales dans l’ensemble du secteur sont restées relativement dynamiques pendant tout le deuxième trimestre et cela s’est poursuivi au troisième trimestre.

Données générales

Les transactions dans la zone euro ont connu la plus forte croissance, à savoir 25,7 % au troisième trimestre. Les activités commerciales entre acheteurs et fournisseurs aux États-Unis ont également dépassé la moyenne mondiale avec une croissance de 17 % au troisième trimestre. Ici, le besoin de rattrapage après le confinement en juillet a entraîné une augmentation des commandes de 85,5 % par rapport à la moyenne mensuelle du deuxième trimestre. La zone euro et les États-Unis se rapprochent donc du niveau d’avant le confinement. En revanche, les activités au Royaume-Uni continuent de décliner. En Chine, l’activité commerciale n’a pas encore retrouvé le niveau d’avant COVID. La Chine reste très volatile. L’activité a augmenté en mars et avril et à nouveau en juillet, mais a fortement diminué en août et septembre.
Des schémas de ralentissement similaires peuvent également être observés dans d’autres domaines. Plusieurs facteurs peuvent expliquer cela :

• Les restrictions de confinement abruptes ont créé un environnement de cocotte-minute pour les chaînes d’approvisionnement. Lorsque les restrictions ont commencé à s’assouplir, les commandes ont considérablement augmenté. Cet élan a duré jusqu’en juillet et a ensuite diminué lorsque les lignes d’approvisionnement se sont normalisées.
• La baisse des commandes au deuxième trimestre a également entraîné un « effet de gueule de bois » financier qui a persisté jusqu’au troisième trimestre. Des délais de paiement de quarante-cinq jours sont devenus la norme dans les chaînes d’approvisionnement mondiales, de sorte que la baisse des commandes au deuxième trimestre a conduit à des problèmes de liquidité au troisième trimestre. Le volume des commandes mondiales a augmenté de 20,1 % au 3ème trimestre, tandis que les paiements de factures aux fournisseurs n’ont augmenté que de 14,1 %.

Le financement de la chaîne d’approvisionnement aide les fournisseurs en cas de pénurie de liquidités

À l’échelle mondiale, les commandes ont augmenté de 20,3 % au 3ème trimestre, mais le volume des factures n’a pas pu suivre avec une augmentation de seulement 14,1 %. La zone euro est la seule région à dépasser systématiquement la moyenne mondiale, principalement grâce à une augmentation significative des commandes à la fin du deuxième trimestre, qui se traduit maintenant par des paiements aux fournisseurs.
L’amélioration du volume des commandes au troisième trimestre devrait apporter un coup de pouce bienvenu au flux de trésorerie des fournisseurs à la fin de l’année. Reste à savoir si toutes les entreprises tiendront jusqu’à ce moment-là. Une petite entreprise moyenne dispose d’environ 27 jours de liquidités pour survivre sans revenus. De nombreux fournisseurs ne peuvent actuellement pas se permettre d’attendre l’échéance des factures. Par conséquent, des modèles de financement innovants qui libèrent la liquidité plus rapidement sont plus demandés que jamais.
«Avec notre produit Tradeshift Cash, nous soutenons les entreprises et les fournisseurs dans cette crise de liquidité. Les fournisseurs peuvent recevoir leur argent dans les deux jours suivant des critères sélectionnés. Avec ce modèle de financement de la chaîne d’approvisionnement, nous permettons aux entreprises de construire une chaîne d’approvisionnement plus forte en donnant à leurs fournisseurs accès à un flux de trésorerie constamment disponible — et renforçons la relation client-fournisseur», explique Christian Laang, PDG de Tradeshift.

Informations complémentaires

Plus de 1,5 million d’acheteurs et de fournisseurs dans plus de 160 pays utilisent la plateforme de technologie commerciale de Tradeshift pour échanger des informations d’achat et de facturation numérisées. Plus de 500 milliards de dollars de transactions sont traitées chaque année via la plateforme.
L’Index of Global Trade Health de Tradeshift offre une analyse des volumes de transactions Business-to-Business (commandes traitées par les acheteurs et factures traitées par les fournisseurs) dans l’ensemble du réseau Tradeshift, comparé mois par mois et trimestre par trimestre avec le trimestre précédent.
Téléchargez ici le rapport complet
https://tradeshift.com/de/
Photos/Graphiques : © Tradeshift Inc.