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29/09/2020 à 15 h 24Lettre ouverte de 32 associations au Premier ministre Boris Johnson et aux deux chefs négociateurs Michel Barnier et David Frost. Les associations souhaitent un accord dans l’intérêt des consommateurs et de l’économie des deux côtés. Dans la lettre, les parties négociatrices sont appelées à ne pas entraver le trafic en cours et les transports en transit.
(Francfort/Main) Le BGL, l’IRU et 30 autres associations de transport routier et groupes d’entreprises de transport de toute l’Europe appellent les négociateurs de l’UE et du Royaume-Uni à parvenir à un accord sur le Brexit dans l’intérêt des consommateurs et de l’économie.
Dans une lettre ouverte, coordonnée par l’IRU, adressée aux deux négociateurs du Brexit, Michel Barnier et David Frost, ainsi qu’au Premier ministre Boris Johnson, les signataires de la lettre ont exhorté les deux parties à parvenir à un accord qui protège le trafic routier de camions entre l’UE et le Royaume-Uni et permet les transports en transit à travers leurs territoires respectifs sans l’introduction de permis de transport et de systèmes de quotas.
Un accord de libre-échange soutiendrait les chaînes d’approvisionnement
Un accord de libre-échange entre les deux parties soutiendrait les chaînes d’approvisionnement et les économies à travers l’UE, car chaque année, plus de 2,3 millions de camions circulent entre l’UE et le Royaume-Uni.
Le transport routier de marchandises a souffert de manière significative pendant la pandémie de COVID-19. La perte de revenus annuelle des opérateurs dans l’UE est estimée à 64 milliards d’euros pour le transport de marchandises en 2020. « Des coûts supplémentaires résultant de l’absence d’accord entre le Royaume-Uni et l’UE d’ici la fin de l’année seraient un coup supplémentaire pour les entreprises et doivent absolument être évités », a déclaré le porte-parole du conseil d’administration du BGL, le Prof. Dr. Dirk Engelhardt.
Sans un accord de libre-échange, les entreprises de transport européennes et britanniques seraient confrontées à un patchwork d’accords nationaux différents, avec des coûts plus élevés, des temps de trajet plus longs et une interruption potentielle de l’approvisionnement pour tous les clients.
Le temps presse !
« L’industrie du transport routier européenne et britannique appelle les négociateurs à parvenir à un accord sur les relations futures. En ce qui concerne le nouvel environnement opérationnel, la transparence est nécessaire afin que le secteur ait suffisamment de temps pour se préparer aux nouvelles réglementations », exige Dirk Engelhardt.
Lettre ouverte en traduction française
Photo : © Loginfo24
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